Rapport au savoir : les zones d’ombre et de lumière

Colloque du CRIFPE
Symposium
Thème
Les formations à l’enseignement (initiales et continues)
Résumé
Il y a bientôt 30 ans que l’équipe ESCOL publiait « École et savoir dans les banlieues… et ailleurs », l’ouvrage qui allait propulser le rapport au savoir au rang de notion incontournable en sociologie de même qu’en éducation. Charlot, Bautier et Rochex (1992) en ont jeté les bases qui ont ensuite été étoffées dans l’écrit de 1997 de Charlot : « Du rapport au savoir, éléments pour une théorie ». Des chercheurs de tous horizons se sont emparés de cette notion parapluie, suffisamment englobante pour s’adapter à de nombreux contextes d’éducation et de formation, étonnamment complexe dans ses définitions et ses nuances et d’autant séduisante qu’elle évite les raccourcis en embrassant dans sa globalité l’être unique, mais social, qui apprend. Si les premières décennies de recherches ayant mobilisé le rapport au savoir ont permis de le saisir sous divers angles, de le définir de plus en plus clairement et de proposer des pistes d’opérationnalisation variées, il y a lieu maintenant de soulever davantage les recoins du tapis pour voir ce qui se cache en dessous. Quelles sont les zones d’ombre qui demeurent? Quelles sont les nouvelles ouvertures pour le rapport au savoir ou dit autrement, les zones de lumière? Quelles limites semblent insurmontables, à la fois sur les plans théorique, méthodologique et empirique?
Auteur(s)
  • Chantale Beaucher - Université de Sherbrooke
  • Dorothée Baillet - Université Libre de Bruxelles
  • Geneviève Therriault - Université du Québec à Rimouski
  • Valérie Vincent - Université de Genève/ Université du Québec à Rimouski
Durée de la vidéo
65 minutes

Communications

Vous devez être connecté pour accéder à la vidéo.
Vous devez être connecté pour accéder au clavardage.